Deux anecdotes qui se sont passées hier pour mettre en évidence le manque de coordination entre les services de police.
Le matin, rue de Panama, des agents remontent la rue et établissent un PV pour une voiture. Je ne connais pas cette voiture, mais elle me paraît moins dérangeante que les camions qui servent de stockage. Je vais donc leur demander pourquoi ils verbalisent ce véhicule alors qu'aucun des camions n'a le macaron de stationnement apparent. Ils m'expliquent que l'assurance de la voiture n'est plus à jour (OK, c'est une bonne réponse), mais qu'eux ne s'occupent pas des problème de stationnement, mais que c'est un autre service qui s'en charge.
Vers 21h00, rue de Suez, un groupe de buveurs (environ 8 personnes) continue de descendre bière sur bière devant le 4 et le 6. Conformément à ce que nous avons convenu avec le MPC, j'appelle donc le commissariat pour qu'ils envoient une voiture verbaliser les buveurs (et les boutiques puisqu'elles n'ont plus le droit de vendre de l'alcool à cette heure). 8 buveurs, qui ne sont pas de délinquants lourds, ce devrait être à la portée de 3 policiers. On me promet de passer dès qu'il y a une voiture.
21h40, une voiture banalisée, avec trois agents à l'intérieur, passe doucement dans la rue, et ne s'arrête pas.
Je rappelle le commissariat, un peu en colère, et on me répond que c'est sans doute un autre service.
Moi, je veux bien qu'il y ait un manque d'effectif, mais si en plus, ceux qui restent ne communiquent pas, on n'a aucune chance de s'en sortir.
Le matin, rue de Panama, des agents remontent la rue et établissent un PV pour une voiture. Je ne connais pas cette voiture, mais elle me paraît moins dérangeante que les camions qui servent de stockage. Je vais donc leur demander pourquoi ils verbalisent ce véhicule alors qu'aucun des camions n'a le macaron de stationnement apparent. Ils m'expliquent que l'assurance de la voiture n'est plus à jour (OK, c'est une bonne réponse), mais qu'eux ne s'occupent pas des problème de stationnement, mais que c'est un autre service qui s'en charge.
Vers 21h00, rue de Suez, un groupe de buveurs (environ 8 personnes) continue de descendre bière sur bière devant le 4 et le 6. Conformément à ce que nous avons convenu avec le MPC, j'appelle donc le commissariat pour qu'ils envoient une voiture verbaliser les buveurs (et les boutiques puisqu'elles n'ont plus le droit de vendre de l'alcool à cette heure). 8 buveurs, qui ne sont pas de délinquants lourds, ce devrait être à la portée de 3 policiers. On me promet de passer dès qu'il y a une voiture.
21h40, une voiture banalisée, avec trois agents à l'intérieur, passe doucement dans la rue, et ne s'arrête pas.
Je rappelle le commissariat, un peu en colère, et on me répond que c'est sans doute un autre service.
Moi, je veux bien qu'il y ait un manque d'effectif, mais si en plus, ceux qui restent ne communiquent pas, on n'a aucune chance de s'en sortir.