Lundi soir je sors.
En bas de chez moi, rue de suez, une bonne 15aine d'hommes boivent, parlent fort, certains pissent, bref le meme bazaar.
Je vois une camionette de CRS garée en haut de la rue de Suez, près de la droguerie...
Je reviens vers 21h30.
Rien n'a bougé.
Je me dirige donc vers la camionette.
Les CRS sont tranquillement assis dedans, jouant avec leur i-phone
Je leur avoue ne pas bien comprendre qu'ils sont là à papoter/sms-er/surfer, alors qu'à 15 mètres d'eux des hommes nous pourrissent la vie, comme tous les jours.
Sur ce, un des CRS, ultra remonté et agressif, se met non pas à me crier dessus mais à aboyer. Alors que je m'adresssai à son collègue au physique plus avenant.
Lui
-Non mais quoi....qu'est ce que c'est que ces commentaires à deux balles, c'est un manque de respect, vous savez depuis quelle heure aujourd'hui je suis là, et depuis quand les rangers de mes hommes battent le pavé?
(Et là...je pense..et vous vous savez depuis combien de mois/ d'année nous sommes confrontés a ce bazaar infernal??)
Et il continue
-Vous travaillez combien d'heure par semaine madame, car nous sommes ici, a faire des semaines de 50 heures et plus...comment ca vous aussi?Comment ca, et bah vous devez etre une employée exemplaire.. (La je pense: bah ouais, quand on est à son compte... Bref. Le sujet n'est pas là).
Il est a ce stade en mode de diarhée verbale, impossibilité de communiquer, d'échanger. Son collègue regarde ses pieds.
Visiblement il se rend compte que son chef est borderline,limite petage de plombs.
Je reste calme. Impossible de ttes les manières d'en placer une.
Je laisse avec un "je vois que vous etes visiblement à bout et très remonté. je pense qu'il ne vaut pas forcement la peine de poursuivre cette conversation (trad: monologue).
Bonsoir messieurs.
Au fait, quel est votre nom monsieur?
Lui, hurlant
-Quoi! Mon nom vous ne l'aurez PAS, ah ca alors jamais. Et il continue..je m'eloigne doucement vers chez moi, sa voix en fading sonore...
Hallucinant.
J'ai l'intention de faire passer ce texte au comissariat, à Vals etc
En bas de chez moi, rue de suez, une bonne 15aine d'hommes boivent, parlent fort, certains pissent, bref le meme bazaar.
Je vois une camionette de CRS garée en haut de la rue de Suez, près de la droguerie...
Je reviens vers 21h30.
Rien n'a bougé.
Je me dirige donc vers la camionette.
Les CRS sont tranquillement assis dedans, jouant avec leur i-phone
Je leur avoue ne pas bien comprendre qu'ils sont là à papoter/sms-er/surfer, alors qu'à 15 mètres d'eux des hommes nous pourrissent la vie, comme tous les jours.
Sur ce, un des CRS, ultra remonté et agressif, se met non pas à me crier dessus mais à aboyer. Alors que je m'adresssai à son collègue au physique plus avenant.
Lui
-Non mais quoi....qu'est ce que c'est que ces commentaires à deux balles, c'est un manque de respect, vous savez depuis quelle heure aujourd'hui je suis là, et depuis quand les rangers de mes hommes battent le pavé?
(Et là...je pense..et vous vous savez depuis combien de mois/ d'année nous sommes confrontés a ce bazaar infernal??)
Et il continue
-Vous travaillez combien d'heure par semaine madame, car nous sommes ici, a faire des semaines de 50 heures et plus...comment ca vous aussi?Comment ca, et bah vous devez etre une employée exemplaire.. (La je pense: bah ouais, quand on est à son compte... Bref. Le sujet n'est pas là).
Il est a ce stade en mode de diarhée verbale, impossibilité de communiquer, d'échanger. Son collègue regarde ses pieds.
Visiblement il se rend compte que son chef est borderline,limite petage de plombs.
Je reste calme. Impossible de ttes les manières d'en placer une.
Je laisse avec un "je vois que vous etes visiblement à bout et très remonté. je pense qu'il ne vaut pas forcement la peine de poursuivre cette conversation (trad: monologue).
Bonsoir messieurs.
Au fait, quel est votre nom monsieur?
Lui, hurlant
-Quoi! Mon nom vous ne l'aurez PAS, ah ca alors jamais. Et il continue..je m'eloigne doucement vers chez moi, sa voix en fading sonore...
Hallucinant.
J'ai l'intention de faire passer ce texte au comissariat, à Vals etc