Courrier envoyé le 31 janvier 2013
Madame COHEN SOLAL Lyne
Mairie de Paris
Place de l'hôtel de ville
75196 – PARIS cedex 04
Madame,
Nous sommes habitants de Château Rouge et nous tenions à vous exprimer notre exaspération concernant les différentes boutiques du marchand de quatre saisons Pomi.
Depuis de nombreux mois, ses nombreux étalages envahissent la quasi totalité des trottoirs laissant peu de place à la circulation des piétons, empiètent sur la rue et envahissent la moitié de la place Château Rouge. Régulièrement, en fin de journée, des cageots de fruits sont vendu, empilés les uns sur les autres posés à même le transpalette au milieu de la place. En outre, ses détritus restent jonchées sur la chaussée ce qui rajoute à la saleté de la rue qui malgré le dévouement des agents de la propreté ne peut être correctement nettoyée. Pour justifier ses débordements, Pomi explique vouloir faire barrage aux vendeurs à la sauvette or c’est exactement l’inverse qui se passe. Les sauvettes profitent justement de cet espace clos et difficilement accessible pour s’installer au cœur de la rue. Notre exaspération a atteint son comble lorsque nous avons appris que la mairie de Paris envisageait d’augmenter les taxes de balayage pour les propriétaires. Le problème n’est pas que nous ne voulons pas payer pour la propreté de Paris. Mais nous considérons que n’avons pas à supporter des charges supplémentaires qui incombent normalement aux commerçants. Et le fait est que Pomi ne nettoie jamais les trottoirs où il installe ses étalages et empêche même, compte tenu de ses horaires –ouverture tôt le matin, fermeture tard le soir- les agents de la propreté de faire correctement leur travail.
Nous avons aussi quelques interrogations concernant le traitement de faveur dont Pomi ferait l’objet. Nous savons que, dans le cadre de la ZSP, des agents municipaux sillonnent le quartier pour verbaliser les commerces en infraction. Or nous ne comprenons pas pourquoi Pomi n’a jusqu’à ce jour fait l’objet d’aucun contrôle, continue a s’étaler ostensiblement et a grignoter chaque jour un peu plus l’espace public au point qu’il est devenu impossible de traverser aux passages piétons aux deux extrémités de la rue Dejean, ni de marcher sur les trottoirs de la rue Poulet pourtant ouverte à la circulation.
Pour appuyer nos propos, nous vous joignons quelques photos qui illustrent de façon éloquente de la situation. Dans l’attente d’une réponse, veuillez croire, madame,
à l’expression de nos salutations distinguées.
Madame COHEN SOLAL Lyne
Mairie de Paris
Place de l'hôtel de ville
75196 – PARIS cedex 04
Madame,
Nous sommes habitants de Château Rouge et nous tenions à vous exprimer notre exaspération concernant les différentes boutiques du marchand de quatre saisons Pomi.
Depuis de nombreux mois, ses nombreux étalages envahissent la quasi totalité des trottoirs laissant peu de place à la circulation des piétons, empiètent sur la rue et envahissent la moitié de la place Château Rouge. Régulièrement, en fin de journée, des cageots de fruits sont vendu, empilés les uns sur les autres posés à même le transpalette au milieu de la place. En outre, ses détritus restent jonchées sur la chaussée ce qui rajoute à la saleté de la rue qui malgré le dévouement des agents de la propreté ne peut être correctement nettoyée. Pour justifier ses débordements, Pomi explique vouloir faire barrage aux vendeurs à la sauvette or c’est exactement l’inverse qui se passe. Les sauvettes profitent justement de cet espace clos et difficilement accessible pour s’installer au cœur de la rue. Notre exaspération a atteint son comble lorsque nous avons appris que la mairie de Paris envisageait d’augmenter les taxes de balayage pour les propriétaires. Le problème n’est pas que nous ne voulons pas payer pour la propreté de Paris. Mais nous considérons que n’avons pas à supporter des charges supplémentaires qui incombent normalement aux commerçants. Et le fait est que Pomi ne nettoie jamais les trottoirs où il installe ses étalages et empêche même, compte tenu de ses horaires –ouverture tôt le matin, fermeture tard le soir- les agents de la propreté de faire correctement leur travail.
Nous avons aussi quelques interrogations concernant le traitement de faveur dont Pomi ferait l’objet. Nous savons que, dans le cadre de la ZSP, des agents municipaux sillonnent le quartier pour verbaliser les commerces en infraction. Or nous ne comprenons pas pourquoi Pomi n’a jusqu’à ce jour fait l’objet d’aucun contrôle, continue a s’étaler ostensiblement et a grignoter chaque jour un peu plus l’espace public au point qu’il est devenu impossible de traverser aux passages piétons aux deux extrémités de la rue Dejean, ni de marcher sur les trottoirs de la rue Poulet pourtant ouverte à la circulation.
Pour appuyer nos propos, nous vous joignons quelques photos qui illustrent de façon éloquente de la situation. Dans l’attente d’une réponse, veuillez croire, madame,
à l’expression de nos salutations distinguées.