Mercredi soir, 23h30
4 personnes sont réunies bière à la main sur le trottoir devant l'une des boutiques de la rue de Suez, quasiment sous mes fenêtres (et ce depuis quelques heures déjà).
Pour ne pas être accusée d'appeler la police avant de discuter, je descends tenter d'expliquer aux personnes concernées que je n'arrive pas à dormir du fait de leurs discussions bruyantes. La personne qui me répond, un client de la boutique, m'indique qu'il a déjà essayé de faire taire ses congénères et m'assure que le bruit va cesser (les 3 autres personnes se sont repliées dans la boutique). Je lui fais part de mon exaspération en soulignant que dans la rue, le bruit quasi-quotidien provoqué par les conversations alcoolisées des buveurs de bière commence en fin d'après-midi et s'arrête parfois peu avant minuit (comme c'était le cas ce mercredi soir), et qu'il ne s'agit donc pas d'un cas isolé / exceptionnel.
4 personnes sont réunies bière à la main sur le trottoir devant l'une des boutiques de la rue de Suez, quasiment sous mes fenêtres (et ce depuis quelques heures déjà).
Pour ne pas être accusée d'appeler la police avant de discuter, je descends tenter d'expliquer aux personnes concernées que je n'arrive pas à dormir du fait de leurs discussions bruyantes. La personne qui me répond, un client de la boutique, m'indique qu'il a déjà essayé de faire taire ses congénères et m'assure que le bruit va cesser (les 3 autres personnes se sont repliées dans la boutique). Je lui fais part de mon exaspération en soulignant que dans la rue, le bruit quasi-quotidien provoqué par les conversations alcoolisées des buveurs de bière commence en fin d'après-midi et s'arrête parfois peu avant minuit (comme c'était le cas ce mercredi soir), et qu'il ne s'agit donc pas d'un cas isolé / exceptionnel.