Il y a urgence, en parallèle avec la mise ne place de cette ZSP et pour contribuer à sa réussite, à accélérer la réorientation de la dynamique commerciale, à supposer que la Mairie en ait enfin la volonté politique.
Les méthodes.
Bien sûr les pieds d’immeubles des bailleurs sociaux. Mais nous pensons qu’il faudrait se montrer inventif, créer une société maitre d’œuvre missionnée sur la diversification du commerce et abondée par des fonds municipaux.
Sa première mission serait de solliciter les propriétaires bailleurs privés pour louer à de jeunes artisans ou commerçants prenant le risque d’installer leur activité sur le quartier moyennant une participation à une partie du loyer, à l’image de ce qui se fait pour les loyers aidés d’habitation.
Sa seconde mission serait de rechercher les artisans et commerçants susceptibles de s’implanter en fournissant une aide à l’étude de chaque projet.
En bref faire sur les pieds d’immeubles privés, sans léser personne et par contrat, ce qui se fait parfois sur les pieds d’immeubles des bailleurs sociaux par aménagement de bail – voir boulanger rue Myrrha ou fleuriste Doudeauville.
La dynamique communautaire - un communautaire exclusif - ayant pris une telle ampleur qu’il faudra des actions fortes et concertées sur plusieurs plans pour sortir ce quartier de son enfermement commercial comme de son insécurité chronique.
Ajoutons qu’un retour à une sécurité et une tranquillité normale favoriserait grandement la diversification commerciale. Nous en voulons pour preuve la difficulté pour l’Olympic de trouver acquéreur. Les derniers acquéreurs potentiels en date, des Kabyles, qui se proposaient de monter un restaurant bar, non communautaire, ouvert, ont renoncé quand ils ont mesuré le risque avéré que représente la bande qui occupe les trottoirs.
Ceci est impératif pour les habitants non communautaires, qui perdent ou ont déjà perdu tout rapport de proximité avec les commerces dont ils ont besoin – beaucoup d’habitants se déplacent hors du quartier pour faire leurs achats - mais aussi impératif pour les communautaires, commerçants et clients, qui s’enferment délibérément dans un entre soi exclusif par rapport au reste de la population. Cette dernière caractéristique n’est pas sans rapport avec la sécurité et la tranquillité puisque cette population communautaire se détache et s’exclut du vivre ensemble communément admis, contrairement aux populations Kabyles, Magrébines voire Africaine qui, quinze ans en arrière, pratiquaient encore un commerce ouvert sur tous les habitants du quartier.
Les méthodes.
Bien sûr les pieds d’immeubles des bailleurs sociaux. Mais nous pensons qu’il faudrait se montrer inventif, créer une société maitre d’œuvre missionnée sur la diversification du commerce et abondée par des fonds municipaux.
Sa première mission serait de solliciter les propriétaires bailleurs privés pour louer à de jeunes artisans ou commerçants prenant le risque d’installer leur activité sur le quartier moyennant une participation à une partie du loyer, à l’image de ce qui se fait pour les loyers aidés d’habitation.
Sa seconde mission serait de rechercher les artisans et commerçants susceptibles de s’implanter en fournissant une aide à l’étude de chaque projet.
En bref faire sur les pieds d’immeubles privés, sans léser personne et par contrat, ce qui se fait parfois sur les pieds d’immeubles des bailleurs sociaux par aménagement de bail – voir boulanger rue Myrrha ou fleuriste Doudeauville.
La dynamique communautaire - un communautaire exclusif - ayant pris une telle ampleur qu’il faudra des actions fortes et concertées sur plusieurs plans pour sortir ce quartier de son enfermement commercial comme de son insécurité chronique.
Ajoutons qu’un retour à une sécurité et une tranquillité normale favoriserait grandement la diversification commerciale. Nous en voulons pour preuve la difficulté pour l’Olympic de trouver acquéreur. Les derniers acquéreurs potentiels en date, des Kabyles, qui se proposaient de monter un restaurant bar, non communautaire, ouvert, ont renoncé quand ils ont mesuré le risque avéré que représente la bande qui occupe les trottoirs.
Ceci est impératif pour les habitants non communautaires, qui perdent ou ont déjà perdu tout rapport de proximité avec les commerces dont ils ont besoin – beaucoup d’habitants se déplacent hors du quartier pour faire leurs achats - mais aussi impératif pour les communautaires, commerçants et clients, qui s’enferment délibérément dans un entre soi exclusif par rapport au reste de la population. Cette dernière caractéristique n’est pas sans rapport avec la sécurité et la tranquillité puisque cette population communautaire se détache et s’exclut du vivre ensemble communément admis, contrairement aux populations Kabyles, Magrébines voire Africaine qui, quinze ans en arrière, pratiquaient encore un commerce ouvert sur tous les habitants du quartier.