On rentre chez soi, dans son petit ghetto aux puissantes odeurs de pisse, avec ses poubelles débordant de toutes parts, en tentant avec difficulté de se frayer un chemin parmi les innombrables vendeurs à la sauvette, les putes
et la foule dense des trottoirs qui vous renvoie sur la chaussée...
Le processus de ghettoïsation a démarré dans les années 90 et n'a fait qu'augmenter depuis, jusqu'à atteindre un paroxysme ces dernières années !
Il est vrai que le quartier a toujours été laissé à l'abandon, c'est une tradition, je peux en témoigner car je suis là depuis plus de 50 ans, ma famille s'y étant installée il y a plus d'un siècle.
Les actions dynamiques et apolitiques menées par "Droit au calme" n'ont pas malheureusement pas abouti, à l'époque où la rue de Panama était devenue l'espace du marché aux voleurs, il en reste comme vestige une banderole en face du N°8 .
Les choses ne font qu'empirer... Jusqu'où iront-elles ? L'espoir d'un renouveau a disparu.
Faut-il définitivement baisser les bras ? Ou envisager d'agir malgré tout ?
et la foule dense des trottoirs qui vous renvoie sur la chaussée...
Le processus de ghettoïsation a démarré dans les années 90 et n'a fait qu'augmenter depuis, jusqu'à atteindre un paroxysme ces dernières années !
Il est vrai que le quartier a toujours été laissé à l'abandon, c'est une tradition, je peux en témoigner car je suis là depuis plus de 50 ans, ma famille s'y étant installée il y a plus d'un siècle.
Les actions dynamiques et apolitiques menées par "Droit au calme" n'ont pas malheureusement pas abouti, à l'époque où la rue de Panama était devenue l'espace du marché aux voleurs, il en reste comme vestige une banderole en face du N°8 .
Les choses ne font qu'empirer... Jusqu'où iront-elles ? L'espoir d'un renouveau a disparu.
Faut-il définitivement baisser les bras ? Ou envisager d'agir malgré tout ?