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Le 7 août s'est tenu une réunion au 3 rue Dejean, à propos des problèmes d'intrusions diurnes et nocturnes dans cet immeuble.
Etaient présents :
Mr Lécuyer, représentant le propriétaire,
Mme Richard, représentante le gérant,
Mr Lecomte, représentant le MPC,
Marie C. et Christian Rajaud, représentant le collectif Châteaubouge.
1/ Problématiques.
Il existe deux sortes d'intrusions, celles de jour des vendeurs à la sauvette, et celles de nuits des prostituées.
l'immeuble est sécurisé par un digicode, système peu efficace face à une intrusion de proximité.
2/ Constats sur place.
On ne trouve pas de traces des vendeurs à la sauvette, par contre il y a de nombreux préservatifs usagés.
Les portes des toilettes de la cour utilisées par la boucherie, ainsi que l'accès à la boucherie sont ouvertes. Ces portes devraient être fermées.
L'accès à la cave est ouvert. Cette porte devrait être fermée. La cave est pleine de préservatifs. Les locataires n'ont pas à priori accès à ces caves.
Pour l'instant, il ne semble pas qu'il y ait d'intrusion dans les étages. Mais d'anciennes toilettes sur chaque palier pourraient devenir autant d'endroits propices pour les intrus.
3/ Solutions proposées.
Un devis a été établi pour l'installation d'un vigik, et d'un système d'interphone fonctionnant sur les téléphones des locataires. Ce système sera mis en place d'ici à la fin du mois de septembre. Le digicode sera enlevé ou désactivé.
Si ce système n'est pas concluant, le seconde porte sera également sécurisée afin de maintenir les intrus dans le sas.
Il nous semble également judicieux d'envisager la pose d'une vitre dans la porte extérieure, afin de rendre le sas plus visible de l'extérieur et donc moins "accueillant".
Il sera demandé au boucher de fermer en permanence la porte d'accès à sa boutique et surtout la porte de ses toilettes.
Le verrou de la porte d'accès à la cave sera changé, et des clés seront distribuées aux seules personnes qui en ont l'usage, à savoir la société en charge du ménage et celle en charge de la dératisation. Il faudra être vigilant avec ces sociétés en vérifiant qu'elles referment bien la porte chaque jour. C'est aux locataires de s'assurer régulièrement que cette porte est fermée, et de prévenir le gérant en cas de manquement.
Il est également prévu de retirer les portes des anciennes toilettes dans les étages, afin de prévenir leur récupération par des intrus.
4/ Responsabilités des occupants.
Le gérant ne peut agir que s'il est au courant des problèmes. Il serait souhaitable que les occupants se rencontrent afin de jouer le rôle d'un Conseil Syndical. Cela permettrait que les occupants se connaissent et soient plus réactifs aux problèmes de l'immeuble.
Le MPC souligne que la police peut intervenir, mais que sans système anti-intrusion efficace, son action est limitée.
Châteaubouge affirme l'importance pour les occupants d'un immeuble, propriétaires-habitants ou locataires d'entretenir suffisamment de relations pour permettre la pose et la résolution des problèmes avant qu'ils ne deviennent trop graves. Cela permet aussi de détecter si une personne à l'intérieur de l'immeuble permet l'accès à des intrus.
5/ Autres sujets.
Châteaubouge a réitéré sa demande de réunion avec le commissaire Clouzeau en personne. Il s'agit de discuter des problèmes du quartier et d'envisager une collaboration à propos du classement de Château-Rouge en Zone de Sécurité Prioritaire. Mr Lecomte va transmettre notre proposition au commissaire dont nous attendons la réponse avec impatience. Cette réunion se tiendrait au début du mois de septembre.
Etaient présents :
Mr Lécuyer, représentant le propriétaire,
Mme Richard, représentante le gérant,
Mr Lecomte, représentant le MPC,
Marie C. et Christian Rajaud, représentant le collectif Châteaubouge.
1/ Problématiques.
Il existe deux sortes d'intrusions, celles de jour des vendeurs à la sauvette, et celles de nuits des prostituées.
l'immeuble est sécurisé par un digicode, système peu efficace face à une intrusion de proximité.
2/ Constats sur place.
On ne trouve pas de traces des vendeurs à la sauvette, par contre il y a de nombreux préservatifs usagés.
Les portes des toilettes de la cour utilisées par la boucherie, ainsi que l'accès à la boucherie sont ouvertes. Ces portes devraient être fermées.
L'accès à la cave est ouvert. Cette porte devrait être fermée. La cave est pleine de préservatifs. Les locataires n'ont pas à priori accès à ces caves.
Pour l'instant, il ne semble pas qu'il y ait d'intrusion dans les étages. Mais d'anciennes toilettes sur chaque palier pourraient devenir autant d'endroits propices pour les intrus.
3/ Solutions proposées.
Un devis a été établi pour l'installation d'un vigik, et d'un système d'interphone fonctionnant sur les téléphones des locataires. Ce système sera mis en place d'ici à la fin du mois de septembre. Le digicode sera enlevé ou désactivé.
Si ce système n'est pas concluant, le seconde porte sera également sécurisée afin de maintenir les intrus dans le sas.
Il nous semble également judicieux d'envisager la pose d'une vitre dans la porte extérieure, afin de rendre le sas plus visible de l'extérieur et donc moins "accueillant".
Il sera demandé au boucher de fermer en permanence la porte d'accès à sa boutique et surtout la porte de ses toilettes.
Le verrou de la porte d'accès à la cave sera changé, et des clés seront distribuées aux seules personnes qui en ont l'usage, à savoir la société en charge du ménage et celle en charge de la dératisation. Il faudra être vigilant avec ces sociétés en vérifiant qu'elles referment bien la porte chaque jour. C'est aux locataires de s'assurer régulièrement que cette porte est fermée, et de prévenir le gérant en cas de manquement.
Il est également prévu de retirer les portes des anciennes toilettes dans les étages, afin de prévenir leur récupération par des intrus.
4/ Responsabilités des occupants.
Le gérant ne peut agir que s'il est au courant des problèmes. Il serait souhaitable que les occupants se rencontrent afin de jouer le rôle d'un Conseil Syndical. Cela permettrait que les occupants se connaissent et soient plus réactifs aux problèmes de l'immeuble.
Le MPC souligne que la police peut intervenir, mais que sans système anti-intrusion efficace, son action est limitée.
Châteaubouge affirme l'importance pour les occupants d'un immeuble, propriétaires-habitants ou locataires d'entretenir suffisamment de relations pour permettre la pose et la résolution des problèmes avant qu'ils ne deviennent trop graves. Cela permet aussi de détecter si une personne à l'intérieur de l'immeuble permet l'accès à des intrus.
5/ Autres sujets.
Châteaubouge a réitéré sa demande de réunion avec le commissaire Clouzeau en personne. Il s'agit de discuter des problèmes du quartier et d'envisager une collaboration à propos du classement de Château-Rouge en Zone de Sécurité Prioritaire. Mr Lecomte va transmettre notre proposition au commissaire dont nous attendons la réponse avec impatience. Cette réunion se tiendrait au début du mois de septembre.
